L’AGENCE DE NAMING SUR-MESURE POUR VOTRE NOM DE MARQUE
Le nom sera le premier vecteur d’impact de votre communication. Un nom de marque fort inspire un narratif unique et un imaginaire attractif. L’univers concurrentiel étant de plus en plus encombré, un nom de marque puissant est aujourd’hui nécessaire pour faire émerger votre identité de marque.
L’agence de naming MàLT, depuis 30 ans, créé des noms durables, désirables et disponibles.
CREATION DU NOM PEUGEOT INCEPTION, CONCEPT CAR PRESENTÉ AU CES LAS VEGAS 2023
Comment réussir votre Naming ?
Grâce à mon expertise acquise en 30 ans d’experience consacrée au naming (créativité – stratégie de marque et juridique) vous avez l’assurance d’obtenir un excellent nom de marque.
Pourquoi faire appel à un expert ?
Parce que le nom de marque est un levier puissant pour construire une identité marque et un territoire de communication qui resteront uniques.
L’encombrement juridique étant exponentiel, trouver un nom de marque disponible aujourd’hui relève de l’exploit.
Actuellement pratiquement tous les mots courants du dictionnaire ont été déposés. En vérifiant jusqu’ à un millier de noms, nous arrivons à trouver des pépites, des appellations non renouvelées par exemple.
Parce que le nom de marque fait l’objet de trop d’idées reçues.
Pour garantir aujourd’hui le succès d’un naming, la méthode de création des noms doit suivre plusieurs étapes : la préparation – la création – la vérification – la sélection du nom de marque final.
Quel est le nom de marque parfait ? Ce que je pense du nom parfait ?
Sachez qu’un nom de marque parfait n’existe pas. Le meilleur nom de marque résulte toujours un arbitrage entre 5 ou 6 critères d’excellence. Un point faible sur un critère non bloquant peut être accepté si, par ailleurs, sur les autres critères, le nom sur-performe.
Le nom qu’il désigne, une marque produit ou une raison sociale, comme toute chose, aura les défauts de ses qualités. Le nom de marque idéal sera celui qui correspondra au meilleur arbitrage des contraintes du cahier des charges.
Quelles sont les erreurs à ne pas connaître ?
Ne pas impliquer les décideurs dès le démarrage
Ne pas préparer de brief naming
Ne pas constituer un comité de pilotage restreint
La préparation est cruciale : la direction générale doit être impliquée dès le départ. Un comité de pilotage restreint qui vous accompagnera sur tout le projet contribuera à votre réussite. Faire participer l’interne ou votre équipe au brief est toujours un plus.
Un cahier des charges spécifique précisant bien les objectifs spécifiques du nom et les axes à explorer est également un incontournable aussi bien pour la création que pour la sélection finale du nom. En général peu de projets me fournissent ces éléments que je prépare alors avec mes interlocuteurs avant de démarrer.
N’hésitez pas à me solliciter sur cette étape préparatoire.
Jacques Seidmann
Fondateur – Expert en création de noms de marque
Passionné depuis toujours par les mots, leur musicalité, leur étymologie et leur imaginaire, je conçois la création de noms comme une discipline sportive qui nécessite un entraînement quotidien pour relever chaque nouveau challenge. Avec mon équipe de créatifs freelance et de juristes, j’ai conduit avec succès plusieurs centaines de créations de noms de marque.
Je serais votre interlocuteur et vous accompagnerais jusqu’à l’aboutissement de vos projets de création de noms de marque.
Comment garantir l’excellence de votre futur nom de marque ?
Ne pas focaliser sur l’offre et le descriptif car vos concurrents le feront
Varier les angles et explorer différents axes et angles de création
Le brainstorming ne permet plus aujourd’hui d’aboutir à des noms déposables tellement l’encombrement juridique s’est accru au cours des 20 dernières années.
C’est par contre une première étape intéressante pour dégager les pistes à retravailler ensuite et pour impliquer les différents services afin de partager une vision commune du futur nom.
Je recommande au départ d’explorer simultanément au moins 3 scénarios, du plus proche des codes du secteur au plus rupturiste, en passant par un scénario plus intermédiaire.
Au cours de cette phase, un seul mot d’ordre : c’est la quantité qui fera la qualité.
Mon vivier de noms minimum dépasse toujours 200 propositions de noms pour la future marque, je n’en présente que le « nectar » soit à peine 10-20 %.
Il s’agit d’obtenir le plus grand choix possible à l’intérieur de chaque scénario, pour « in fine» à travers le nom faire un choix engageant la meilleure stratégie de communication pour le projet
Pour obtenir cette variété et cette richesse de proposition j’ai mis au point des outils exclusifs, notamment une banque de 13 000 noms actualisée par la veille permanente que je réalise. Cette base permet d’enrichir les projets avec des propositions inattendues : noms géographiques, noms patronymiques, mots scientifiques néologismes, noms de planètes.
Comment résoudre la problématique des contraintes juridiques
Trouver un nom de marque disponible est devenu une affaire de spécialiste.
Je constate que la plupart de mes interlocuteurs n’imagine pas à quel point il faut s’éloigner des termes courants si l’on veut pouvoir protéger son nom de marque. L’encombrement juridique ne fait que s’accroitre depuis 20 ans.
On estime à 64,4 millions le nombre d’enregistrements de marques actifs dans le monde en 2020, ce qui constitue une hausse de 11,2% par rapport à 2019, dont 30,2 millions pour la Chine uniquement, suivie des États-Unis d’Amérique (2,6 millions) et de l’Inde (2,4 millions). La plupart des noms existant sont déposés même s’ils ne sont pas utilisés. Il faut en vérifier plusieurs centaines pour avoir un nom disponible. De nombreux pièges sont ignorés et attendent ceux qui voudraient déposer leur marque sans prendre de conseils d’experts. La connaissance des obstacles, comme le refus d’enregistrement du nom par l’ INPI , l’opposition de la part marques antérieures similaires, les procès sont à anticiper et cette expertise fait aussi partie des facteurs de succès d’un naming.
La méconnaissance de ces obstacles juridiques aboutit fréquemment à l’échec des projets de naming.
Comment s’assurer de bien choisir le nom de marque final ?
La phase de sélection est la plus délicate !
A bannir les « j’aime / j’aime pas ».
Pensez global. Le nom n’est pas le message, c’est son « teaser ».
Un nom de marque doit s’évaluer sur au moins 4 à 5 critères de performance afin de neutraliser les jugements subjectifs, du type « j’aime / J’aime pas » qui sont de véritables name’s killer.
Plus le nom sera inattendu plus il lui faudra une phase d’appropriation avant de finir par s’installer comme l’ont fait les noms tels que « Picasso » de Citroên, TGV « Inouï », et « Engie » bien qu’ils aient été chahutés à leur lancement
Attention au danger du nom « consensuel » qui est souvent la voie de la facilité. A terme, il aura un impact plus faible et ne parviendra pas à faire émerger la marque. Il m’arrive très souvent de rappeler cet écueil lors de la phase de sélection. Une expertise extérieure apporte donc une réelle valeur ajoutée lors de cette dernière étape cruciale.
Le nom sera votre booster lors du lancement et l’élément le plus durable de votre identité. Ne le confiez ni au hasard ni dans l’urgence. Soignez sa création, vous recueillerez très vite les fruits de votre investissement.
